L’autoentreprise est un régime simplifié qui offre à chacun la possibilité de mener une activité et d’être indépendant avec moins de contraintes. Le métier d’auto entrepreneuriat est un statut apprécié de ceux qui comptent développer leur propre compétence au service d’une nation. Mais, la microentreprise, malgré son caractère simple, demande des démarches précises et régulées par la loi. Autrement dit, la création d’une microentreprise doit suivre un ensemble de processus. Suivez ici quelques guides nécessaires pour la mise en place réussie d’une microentreprise.
Une bonne compréhension du concept de création d’une microentreprise
Un régime de microentreprise est accessible à tout entrepreneur qui exerce son activité en entreprise personnelle : EIRL, IR ou EURL, et ceci à condition d’être gérant associé unique.
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Que vous acceptez directement un régime micro social simplifié ;
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Tenir une comptabilité bien simplifiée ;
- Que vous êtes assujettis à un bénéfice calculé de manière forfaitaire ;
- Que vous avez la possibilité de choisir les versements fiscaux à option libre.
Les étapes de création d’une microentreprise
- La déclaration de la jeune activité à entreprendre
Cette étape consiste à informer les autorités administratives de votre projet. Certaines informations seront renseignées. Il s’agit notamment de l’identité, du genre d’activité, de l’adresse professionnelle, du régime social, du type de régime fiscal, du choix d’un régime social.
- Le choix de la domiciliation de l’activité
La législation contraint toute entreprise française de disposer d’une adresse physique qu’elle déclare auprès des services de Centre de formalités des Entreprises. La domiciliation peut ne pas se situer au même endroit de l’activité professionnelle.
- Les contraintes de formation
- Les assurances professionnelles et le respect des obligations de la comptabilité
Créer une entreprise active dans le développement durable par exemple oblige l’entrepreneur à être responsable de son acte. Ainsi, la réglementation est faite de sorte que ce dernier se confie à une assurance. Mais, l’obligation de référer à une assurance dépend de l’activité de la microentreprise. Pour une microentreprise de prestation de service, une assurance est facultative. Pour les obligations de la comptabilité, dès les préliminaires de la création de la microentreprise, vous devez disposer d’un compte bancaire. Ce dernier vous aide à répondre à toutes les obligations, y compris celles d’immatriculation.